Le cheval se porte bien au Maroc. La stratégie de la filière équine déployée depuis 2011 a donné ses fruits. En l’espace de cinq années, la filière s’est structurée et a renforcé ses fondamentaux. Avec 30.000 emplois, elle contribue désormais pour 0,6% au PIB, soit un montant de 6 milliards de DH. C’est environ le double par rapport à 2007.
Depuis 2011, la filière a été dotée d’une stratégie spécifique. Celle-ci a pour objectif de faire du cheval «un moteur de développement économique et social», assurent les responsables de la Société royale d’encouragement du cheval (Sorec). Un plan qui se décline en 3 axes: le développement des utilisations du cheval (Tbourida, sports et arts équestres…), la promotion de la composante courses marocaines et la sauvegarde de la race Barbe.
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Article paru sur l'Economiste, le 19/10/2016.